En mars 2020, j’ai lu avec grand intérêt un article publié dans Nature Medicine intitulé The proximal origin of SARS-CoV-2 (L’origine proximale du SRAS-CoV-2), rédigé par Kristian Andersen, de l’institut californien Scripps, et quatre autres professeurs renommés. On peut y lire que le SARS-CoV-2 se lie aux cellules humaines bien mieux que ne le prévoyaient les programmes informatiques, et l’article de conclure que « le SARS-CoV-2 n’est pas le produit d’une manipulation délibérée ».
Ayant travaillé pendant plus de dix ans comme scientifique au sein de la plus importante entreprise de vaccins au monde, je ne peux qu’être en d’accord avec cette affirmation.